Prix du journalisme

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Le jury a salué le fait qu’un tel sujet, au demeurant grave et sérieux, soit accessible désormais à un très jeune public. Ce sujet connecte avec le présent et met en lumière l’histoire du Rwanda. Le jury a également remarqué un montage habile et moderne, mêlant des images d’archive, avec d’autres plus contemporaines. Le travail pédagogique est important et mérite d’être souligné. C’est aussi l’occasion de saluer le travail des Niouzz qui rencontre totalement sa mission d’éducation permanente. Il s’agit d’un journalisme utile.  

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Le jury a souligné que cette photo collait à l’actualité et remarqué son esthétisme. Elle reflète parfaitement le drame que vivent les agriculteurs et leur fragilité dans un monde en profonde mutation. Cette image met aussi en exergue la solidarité et l’esprit collectif : derrière les machines, on sait qui sont les femmes et les hommes.

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Le prix de la presse radio a été décerné à Sophie Mergen et Guillaume Wollner pour leur reportage "Pénurie d'infirmières, des vies en danger", diffusé sur La Première de la RTBF.

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Pour la presse Internet, le prix est allé à un trio de La Libre Belgique avec Romane Bonnemé, Valentin Dauchot et Gaëtan Gras pour leur reportage “Trafic et pollution, atmosphère lourde en Mer du Nord”.

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M. Bailly a été récompensé pour son article intitulé « La peine de vivre », publié en décembre 2021, dans le magazine Médor. Depuis une quinzaine d'années, le traitement par immunothérapie soigne certains cancers. Des personnes autrefois condamnées guérissent. Mais au soulagement et à la joie se mêlent l'angoisse et la dépression. Une souffrance paradoxale quand tout le monde, autour de vous, se réjouit. Le jury a salué le sens du récit, la qualité de l'écriture, simple et efficace, l’important travail de vulgarisation, le caractère humain et bienveillant de l’article, l’optimisme qui s’en dégage et la validation par un scientifique pour aller plus loin.

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Mme Gimnopoulou a été récompensée pour son œuvre intitulée « Bois du Cazier : le dernier mineur » publiée dans Syndicats magazine. Le jury a salué cette fois le lien avec l'histoire de la Belgique et l'immigration italienne, le symbole des mains qui semblent faire naître la flamme. Cette flamme symbolise aussi l’espoir, tout en évoquant la fragilité de la vie. Enfin, le jury a apprécié l’usage du noir et blanc.

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Messieurs Woelfe et Guarino ont été récompensés pour le reportage « Dans les cuisines de la livraison de repas » diffusé dans l'émission #Investigation sur la RTBF.

« Avec "Dans les cuisines de la livraison de repas", ils nous livrent une très bonne enquête, dans l’actualité, dans l’époque », indique la députée Sabine Roberty, la présidente du jury. Le jury, par la voix de sa présidente, a salué « la réalisation du reportage, tout comme le choix de la thématique et son traitement, qui va au fond des choses, ce qui donne un sujet très concret et didactique ».

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Monsieur De Lannoy et Monsieur Batista en charge du design ont été primés pour le reportage IHP - Instants d'humanité protégés pour Lalibre.be.

M. De Lannoy s’est emparé d’un sujet difficile et peu traité, la maladie mentale. Il le fait avec une écrite soignée et beaucoup d’humanité. Les membres du jury ont salué ce travail porteur d’espoir.

Le Président du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Rudy Demotte, s’est associé au jury pour « saluer la qualité des travaux qui ont été envoyés et remercier l’ensemble des journalistes ayant remis une candidature. »

Le jury a également tenu à rappeler que les prix du Journalisme du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles s’adressent à tous les titulaires du titre de journaliste professionnel aux termes de la loi du 30 décembre 1963 ou titulaire de la carte de stagiaire délivrée par l’AJP et encourage un maximum de professionnels à candidater.